AUCUN COMMENTAIRE franchement ils exagèrent à ne rien trouver à dire sur une prose qui moi me fait des frissons partout comme quand je dis à l'envi que je lis Claude Simon et que je n'y comprends pas grand'chose, n'empêche je lis Claude Simon avec délectation, jamais eu sous les yeux de prose plus belle, harmonieuse, on dirait des phrases à la Debussy, je raconte n'importe quoi et opère des comparaisons, des rapprochements on ne peut plus incongrus, Claude Simon - Claude - tiens j'y avais pas pensé - Debussy,même sur France-Culture, ils ont pas dû y penser quoique quand on voit qui en vient de France Culture des fois il y a de quoi "s'arracher les cheveux" expression qui me concernant est aussi inappropriée que la sus citée, ce billet part en vrille, Colette qui vient me rendre visite et moi qui ose pas lui dire, j'ai Albin sur le feu puis Colette partie, Jacky au téléphone et lui bavard comme c'est pas permis, me demande le chiffre du jour, si c'est bien, pas bien et qui c'était, bref respect dû au patron, là-dessus le même au téléphone, n'oublie de venir me chercher à la gare, j'aurais pas oublié vu que c'est moi qui ai emmené sa voiture au garage ce matin, bref un billet né dans la douleur et qui toute sa vie en portera comme des stigmates qu'on dit, on part sur un sujet, on parle de Claude Simon, de Claude Debussy, c'est le 1° Janvier pendant le déjeuner que Jacky nous a avoué qu'il n'aimait pas Pelléas, je m'en serais un peu douté vu comme il remuait à l'opéra comique quand on l'avait vue mais bon, pas aimer Pelléas, lui, ce serait un peu comme si moi j'avouais ici que je préfère Amélie Nothomb à Albin, on pourrait pas me croire. Excusez maintenant je dois partir à la gare et puis les autres, les internôtes, tout ça, qu'est-ce que vous attendez pour faire de ce blog un blog que je me sente moins seul à dire combien j'aime Albin, qu'à force de le répéter, il va finir par croire que je serais comme on dit mal...mais bon je préfère pas y croire.
AUCUN COMMENTAIRE franchement ils exagèrent à ne rien trouver à dire sur une prose qui moi me fait des frissons partout comme quand je dis à l'envi que je lis Claude Simon et que je n'y comprends pas grand'chose, n'empêche je lis Claude Simon avec délectation, jamais eu sous les yeux de prose plus belle, harmonieuse, on dirait des phrases à la Debussy, je raconte n'importe quoi et opère des comparaisons, des rapprochements on ne peut plus incongrus, Claude Simon - Claude - tiens j'y avais pas pensé - Debussy,même sur France-Culture, ils ont pas dû y penser quoique quand on voit qui en vient de France Culture des fois il y a de quoi "s'arracher les cheveux" expression qui me concernant est aussi inappropriée que la sus citée, ce billet part en vrille, Colette qui vient me rendre visite et moi qui ose pas lui dire, j'ai Albin sur le feu puis Colette partie, Jacky au téléphone et lui bavard comme c'est pas permis, me demande le chiffre du jour, si c'est bien, pas bien et qui c'était, bref respect dû au patron, là-dessus le même au téléphone, n'oublie de venir me chercher à la gare, j'aurais pas oublié vu que c'est moi qui ai emmené sa voiture au garage ce matin, bref un billet né dans la douleur et qui toute sa vie en portera comme des stigmates qu'on dit, on part sur un sujet, on parle de Claude Simon, de Claude Debussy, c'est le 1° Janvier pendant le déjeuner que Jacky nous a avoué qu'il n'aimait pas Pelléas, je m'en serais un peu douté vu comme il remuait à l'opéra comique quand on l'avait vue mais bon, pas aimer Pelléas, lui, ce serait un peu comme si moi j'avouais ici que je préfère Amélie Nothomb à Albin, on pourrait pas me croire. Excusez maintenant je dois partir à la gare et puis les autres, les internôtes, tout ça, qu'est-ce que vous attendez pour faire de ce blog un blog que je me sente moins seul à dire combien j'aime Albin, qu'à force de le répéter, il va finir par croire que je serais comme on dit mal...mais bon je préfère pas y croire.
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